Matériel Open Source & Introduction à RepRap
Posted on Friday 02 December 2011, 13:58 - DIY - Permalink Tweet
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Le mouvement Open Source vous est familier ? C'est assez peu connu, mais ce mouvement ne concerne pas seulement le secteur du logiciel ou de l'immatériel, mais aussi le matériel. L'Open Source Hardware correspond aux objets qui respectent le principe de l'ouverture des méthodes et moyens de fabrication, permettant comme pour le logiciel, à chacun de fabriquer et d'améliorer le projet initial.
APPRENDRE - PARTAGER - PRODUIRE
On peut ainsi aujourd'hui se procurer les plans de nombreux appareils conçus et continuellement améliorés par une communauté. Des objets dont chacun maitrise le fonctionnement, modifiables et réparables.
Le projet Reprap est l'un des ces projets les plus populaires, Il s'agit d'une machine capable d'imprimer des objets en trois dimensions, par l'application de couches successives de plastique déposé par la tête d'impression.
Si ce type d'appareils existe déjà, dans des versions propriétaires, la reprap se distinque par plusieurs aspects :
- Une machine bon marché. Selon le mode d'approvisionnement, compter entre 600€ et 800€ pour un Kit complet livré clef en main (à monter soi-même). Les équivalents commerciaux sont au moins 10 fois plus chers !
- Une communauté active. On pourra profiter de toutes les améliorations proposées par la communauté, ainsi que de toute l'aide nécessaire à la mise au point de son propre appareil.
- Reprap peut en imprimer une partie des pièces qui la composent. C'est pourquoi Reprap est connu comme le premier objet "auto-réplicant".
Quelques liens pour aller plus loin :
- thingiverse.com : Un site communautaire regroupant des Gides de construction d'objets, notamment avec une imprimante 3D.
- makergear.com : Vente de Kits complets pour Reprap PRUSA. C'est chez eux que j'ai acheté le Kit de ma première imprimante 3D.
- ebay.fr : On y retrouve de nombreux kits de pièces plastique imprimées, indispensables pour fabriquer sa propre reprap.
- Et bien évidemment le labo où je sévis : etolab.